SSM
SOCIÉTÉ DE SCHIZOPHRÉNIE DE LA MONTÉRÉGIE
À la SSM, notre coordonatrice...
Mme Lucie Couillard agit bénévolement depuis plus de 18 années dans divers organismes en santé mentale.

Ayant elle-même une fille atteinte, elle a su tout au long des années démontrer sa détermination, son courage et
sa tenacité en défendant les droits des parents et des personnes atteintes de schizophrénie.

Depuis la création de la Société de schizophrénie de la Montérégie (2001), le dynamisme et le dévouement de Mme
Couillard a permis de développer et offrir 26 services à la clientèle.

Pour la seconder dans ses tâches, madame Couillard a créér une équipe de 27 bénévoles qui ont donné,
amour, partage et écoute à cette clientèle trop souvent laissés à elle même.


STATISTIQUES :


Ill est intéressant de noter que 50,6 % des bénéficiaires des ses services sont des personnes atteintes, 49,4 % les
parents, proches et amis, 7,3 % des usagers réguliers et 42,7 % ds usagers occasionnels.

Autre fait important : 12,5 % de la clientèle ont 65 ans et plus, 65 % des 36-64 ans, 22 % des 18-35 ans et 1 % des
6-17 ans  !

Avec les nouvelles activités de soirées partage pour les enfants et adolescent et les rencontres d'information, de
sensibilisation et de dépistage précoce, madame Couillard vise encore à développer. D'ailleurs, nous croyons que les 6-17 ans représenterons près de 4% pour 2010.


Société de la schizophrénie de la Montérégie



Merveilleux bénévolat avec les Senti-Mentaux

Après avoir terminé ma carrière d'enseignante, je cherchais une activité dans laquelle je pourrais exercer mes
talents d'animatrice et satisfaire ma passion pour le théâtre.

À l'occasion de la semaine de la santé mentale 2001, le Collectif
pour la défense des droits recrutait des bénévoles pour participer à
son projet, où je faisais du bénévolat, m'accrocha.

Accroché...oui, et le mot est faible. Car depuis ce jour, j'ai la chance de jouer avec des personnes talentueuses,
enthousiaste et, bien que vivant avec une problématique en santé mentale, sont capables de travailler fort pour
produire des spectacles toujours appréciés par des publics variés.

Les comédiens ont recours à leurs intervenants ou à leurs médecins lorsqu'ils vivent des moments difficiles et
reviennent pour poursuivre les apprentissages artistiques proposés par le ou la metteur(e) en scène.

Ma responsabilité consiste à les salles pour les rencontres, à engager le ou la metteur(e) en scène, éa
planifier les répétitions, à vendre le spectacle et à coordonner les différentes activités générées par un projet
théâtre.

Avec les Senti-Mentaux, on travaille tout en s'amusant et surtout on crée des liens qui rompent l'isolement.


Monique Riendeau, responsable
Les Senti-Mentaux
Société de schizophrénie de la Montérégie
Notre jardin communautaire
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Ce que les familles
demandent :

Ni oppression ni protection, mais
un droit à une meilleure qualité de
vie.
L'obligation d'être traité ne signifie
pour moi ni oppression ni
protection, mais un droit d'avoir
une meilleure qualité de vie en
ayant accès à des soins de santé
qui ne se limitent pas qu'aux
médicaments, mais qui incluent
des services de réadaptation pour
tous les aspects de la personne
(étude, travail, loisir, réseau
social, logement, etc.)
C'est ce que nos proches veulent
et c'est ce que nous voulons
aussi.

Céline Labbé, travailleuse
sociale et mère d'un fils atteint
d'un trouble mental
©2010-2011 SSM Société Schizophrénie Montérégie
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